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Ce livre vous convie à une aventure à travers les âges et une exploration approfondie de l’évolution de ce village alpin valaisan, depuis l’époque où le vallon était recouvert d’une épaisse carapace de glace jusqu’à son statut actuel de destination touristique prisée.
Dans un monde en crise à l’heure du réchauffement climatique, la responsabilité sociale représente une convergence d’impératifs à renforcer. De la première conférence sur le climat en 1972 à Stockholm jusqu’aux derniers accords bilatéraux renforçant un modèle économique suranné, l’ouvrage est une invitation à comprendre les implications profondes entre économie, politique et environnement. Et ce, sur le plan de la Responsabilité Sociale des États (RESETs), un impératif encore trop peu mobilisé.
Ce roman policier est le troisième écrit par Le Groumeur. Son héros, l’Inspecteur Clébard est un flflic à l’ancienne : une formation en criminologie assez moyenne mais une intuition à toute épreuve.
Cette fois, c’est un tueur en série que Clébard va devoir arrêter en terre valaisanne. Des meurtres en cascade touchent le monde du football suisse : des arbitres sont trouvés pendus et égorgés, arborant une étoile de tissu, non sans lien avec le drapeau valaisan et le FC Sion.
Ce livre s’inscrit dans le sillage du 120e anniversaire du Nouvelliste. Il lève le voile sur un pan méconnu de sa création. Car oui, l’origine du journal le plus lu du Valais est intimement liée à la fondation de l’Œuvre Saint-Augustin par le chanoine Louis Cergneux de l’Abbaye de Saint-Maurice et Mère Marie Sidler.
Les affections cardiovasculaires tuent en silence! On peut certes pré- venir l’hypertension par une bonne hygiène de vie et la traiter à l’aide de médicaments de synthèse non dépourvus d’effets secondaires. Mais, chose moins connue, des plantes médicinales ou alimentaires comme l’ail, l’hibiscus, l’olivier ou la betterave rouge, sont à même d’abaisser modérément la pression artérielle, et ce quasi sans effets indésirables. Il en va de même pour l’hypotension, à l’exemple du romarin.
Le règne végétal présente un immense potentiel pour atténuer les troubles cognitifs (perte de la mémoire, de l’attention et de la concentration, de la faculté de raisonner, etc.) et ce, à l’heure où il n’existe encore aucun médicament capable de venir à bout de maladies dégénératives de type Alzheimer. Seules les plantes étudiées scientifiquement sont décrites dans ce livre avec leurs propriétés thérapeutiques et leurs effets secondaires éventuels. Des conseils pratiques sont donnés sur la façon de les utiliser au mieux avec indication des dosages adéquats.
« Une histoire d’hommes, une histoire faite d’opportunité et d’ambitions qui nous projette dans ce Valais du futur dont l’un des axes forts s’est patiemment bâti dans le secteur des sciences de la vie. »
Ce livre vous convie à une aventure à travers les âges et une exploration approfondie de l’évolution de ce village alpin valaisan, depuis l’époque où le vallon était recouvert d’une épaisse carapace de glace jusqu’à son statut actuel de destination touristique prisée.
« Une histoire d’hommes, une histoire faite d’opportunité et d’ambitions qui nous projette dans ce Valais du futur dont l’un des axes forts s’est patiemment bâti dans le secteur des sciences de la vie. »
Ce roman policier est le troisième écrit par Le Groumeur. Son héros, l’Inspecteur Clébard est un flflic à l’ancienne : une formation en criminologie assez moyenne mais une intuition à toute épreuve.
Cette fois, c’est un tueur en série que Clébard va devoir arrêter en terre valaisanne. Des meurtres en cascade touchent le monde du football suisse : des arbitres sont trouvés pendus et égorgés, arborant une étoile de tissu, non sans lien avec le drapeau valaisan et le FC Sion.
Ce livre s’inscrit dans le sillage du 120e anniversaire du Nouvelliste. Il lève le voile sur un pan méconnu de sa création. Car oui, l’origine du journal le plus lu du Valais est intimement liée à la fondation de l’Œuvre Saint-Augustin par le chanoine Louis Cergneux de l’Abbaye de Saint-Maurice et Mère Marie Sidler.
Les affections cardiovasculaires tuent en silence! On peut certes pré- venir l’hypertension par une bonne hygiène de vie et la traiter à l’aide de médicaments de synthèse non dépourvus d’effets secondaires. Mais, chose moins connue, des plantes médicinales ou alimentaires comme l’ail, l’hibiscus, l’olivier ou la betterave rouge, sont à même d’abaisser modérément la pression artérielle, et ce quasi sans effets indésirables. Il en va de même pour l’hypotension, à l’exemple du romarin.
Le règne végétal présente un immense potentiel pour atténuer les troubles cognitifs (perte de la mémoire, de l’attention et de la concentration, de la faculté de raisonner, etc.) et ce, à l’heure où il n’existe encore aucun médicament capable de venir à bout de maladies dégénératives de type Alzheimer. Seules les plantes étudiées scientifiquement sont décrites dans ce livre avec leurs propriétés thérapeutiques et leurs effets secondaires éventuels. Des conseils pratiques sont donnés sur la façon de les utiliser au mieux avec indication des dosages adéquats.
Mathias Caille, né en 1985, apprend en 2009 qu’il est porteur de la maladie de Huntington. Comment appréhender son avenir lorsqu’à 24 ans, un tel diagnostic balaie tout projet de couple et professionnel d’un revers de manche?
«Je suis un livre de recettes. Écrit au présent. Un carnet noir, chéri et caché, consulté comme un trésor, vénéré par ceux qui le peuvent, pour ce que je suis, mais aussi ce que je représente. Car je suis le gardien d’une mémoire collective, le témoin de tant de destins. Le reflet d’une saga familiale sur plus de quatre générations. Je raconte en filigrane les idées de ceux qui m’ont pensé, créé et réalisé.»
En 2021, je me suis enfin souvenu que mon père Jacques Muller attendait une réponse à la septième question qu’il m’avait adressée dans sa lettre du 7 mars 1978, et ce neuf mois avant qu’il nous quitte.
Avec Léo, son fidèle compagnon qui lui offre aujourd’hui la mobilité comme semblant de liberté, Pierrette Kirchner-Zufferey revisite son parcours marqué par la tuberculose contractée à ses 15 ans. Alors qu’on lui prédisait une courte espérance de vie, elle témoigne soixante-cinq ans après qu’il est possible de vivre et bien vivre… au ralenti avec seulement 2/5e d’alvéoles pulmonaires.
«J’avais 18 mois quand ma mère a disparu. J’ai donc grandi sans sa présence. J’ai surtout grandi sans sa mémoire; dans le déni et le silence. Ma mère est morte à 33 ans, noyée dans le Rhône. Elle se serait suicidée. Ce fut en tout cas la version officielle, celle à laquelle j’ai eu accès, je ne sais même plus quand ni comment.»
Le titre de cet ouvrage peut surprendre car Brenda, mon épouse aujourd’hui décédée, est en fait une «femme ordinaire». Elle était exceptionnelle dans le sens qu’elle était surprenante, atypique même, dans sa personnalité, ses intérêts, ses activités. Passionnée par le monde des insectes et des micro-organismes, elle avait une capacité d’écoute et une forte empathie envers les personnes.
«Je suis la fille du soleil, de la mer et du sable, exilée dans un pays de montagnes et de froid. Je me heurte aux murailles, je tremble, j’ai peur, alors je rêve et je cherche avec ferveur et rage au fond de ma mémoire, mon village, mon pays.»
«Ce livre est destiné à ma fille, comme un fragment de sa propre histoire. Un morceau de mémoire qui, s’il s’éteint sans avoir été transmis, disparaîtra. Mais cette histoire est aussi pour vous. Finalement, Fernand, mon grand-père, pourrait être le vôtre et son parcours de vie déclencher l’ouverture de la porte…»