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L'héritage de tous

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L'héritage de tous

Jean-Pierre Cubizolle et Olivier Ferrari

Un livre de référence réalisé par IMPACT 2 SCALE à Vevey pour la COP30 à Bélém, proposant une approche  opérationnelle pour reconnecter, finance, économie réelle et limites planétaires pour défendre une neutralité carbone pensée à l'horizon 2030 comme un véritable cadre de travail, et non comme un slogan.

Voilà plus de trente ans que la communauté internationale négocie sous l’égide de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques. Pendant ce temps, les courbes physiques (climat, biodiversité, océans, cycles biogéochimiques)  ont continué à se dégrader plus rapidement que nos décisions collectives.

La COP30 à Belém ne s’inscrit plus dans un temps de préparation, mais dans un temps de rattrapage. C’est dans cet esprit que nous avons réalisé l’ouvrage « L’héritage de tous / The Legacy of All », publié en français et en anglais et édité par IMPACT 2 SCALE SA.

Remettre finance, économie réelle et limites planétaires à la même table

L'ambition de cet ouvrage est de remettre finance, économie réelle et limites planétaires à la même table, avec une boussole claire : rester dans l’espace sûr des neuf limites planétaires, dont le climat n’est qu’une dimension parmi d’autres.

Le constat est désormais documenté : nous avons dépassé plusieurs bornes de sécurité, pas seulement celle du CO₂. Le cœur de la réflexion proposée est de:

  • sortir d’une approche uniquement centrée sur le climat pour adopter une lecture holistique des risques ;
  • lier explicitement finance, climat, biodiversité, ressources naturelles et cohésion sociale ;
  • accepter que les horizons successifs à 2050 ne suffisent plus pour guider l’action.

De l’horizon 2050 à l’exigence d’une neutralité 2030

Nous défendons une idée simple, mais exigeante : considérer la neutralité carbone à horizon 2030 comme un horizon de travail, et non comme un slogan lointain.

Cela implique de réorienter immédiatement les flux financiers et les modèles économiques, en cohérence avec l’ensemble des neuf limites planétaires, et pas uniquement en fonction d’une trajectoire CO₂. L’enjeu n’est plus de “préparer” la transition, mais de rattraper le temps perdu avec des décisions assumées, lisibles, ancrées dans le réel.

Des leviers opérationnels, pas un diagnostic de plus

L’ouvrage ne se limite pas à un constat. Il avance des pistes opérationnelles, fondées sur des technologies existantes et sur le principe élémentaire du pollueur-payeur / consommateur-payeur. Deux leviers structurants y sont détaillés:

  • une approche de protection climatique des océans et des écosystèmes aquatiques ;
  • un modèle d’économie sociale circulaire pour les déchets abandonnés dans la nature, créateur de revenus locaux et de restauration environnementale.

Ces propositions ne cherchent ni bouc émissaire ni victoire symbolique ; elles visent des mécanismes simples, traçables et finançables, susceptibles d’être intégrés dans les NDC de nouvelle génération, les politiques nationales d’adaptation et les dispositifs de financement (fonds climat, pertes et préjudices, mécanismes mixtes).

Reconnecter la finance au réel et à la « maison commune »

Notre intention n’est pas de juger trente années de négociations, ni de pointer du doigt tel ou tel acteur. Le propos est plus direct:

  • le temps que nous pensions avoir devant nous n’existe plus ;
  • une partie importante des outils financiers et techniques existe déjà ;
  • ce qui manque encore, ce sont des décisions claires qui reconnectent la finance au réel et aux limites physiques de notre « maison commune ».

La question n’est plus de savoir si nous allons changer, mais comment nous choisissons de le faire: de manière ordonnée, solidaire, ou sous la contrainte des crises successives.

 

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